Un professeur de danse demande une assistance pro-bono pour une prétendue rupture de contrat
La Legal Aid Society représente un homme de 26 ans poursuivi par un ancien employeur. Notre client a travaillé pendant deux ans comme professeur de danse et, afin d'obtenir ce poste, a signé un contrat de travail avec le studio de danse qui contenait entre autres des clauses de non-concurrence, de non-sollicitation et de non-dénigrement. Les propriétaires du studio ont créé un environnement de travail toxique pour notre client, notamment en le passant pour des promotions. En juin 2018, notre client a quitté son emploi. Moins de deux mois plus tard, le studio de danse l'a poursuivi devant la Cour suprême de New York pour rupture de contrat, alléguant qu'il avait violé les clauses de non-concurrence, de non-sollicitation et de non-dénigrement du contrat. De plus, le studio a intenté une action en ingérence délictuelle dans des réclamations contractuelles contre notre client, alléguant que ce dernier avait incité plusieurs étudiants à quitter le studio de danse en même temps qu'il quittait son poste. Il nie ces affirmations. De plus, nous pensons que les clauses de non-concurrence et de non-sollicitation du contrat peuvent être inapplicables en droit.
La Société d'aide juridique dépose une réponse au nom du client niant les prétentions et faisant valoir une demande reconventionnelle sollicitant un jugement déclaratoire sur la question de l'inopposabilité des dispositions du contrat mentionné ci-dessus. Nous recherchons une assistance pro bono pour co-conseiller avec l'aide juridique dans ce litige devant la Cour suprême de l'État.